Le pari sportif repose sur des probabilités. Le bookmaker vend une probabilité sur un évènement. Le côté sport est un enrobage.
Un enrobage émotionnel qui détourne le parieur et dans cette organisation. La population des parieurs est à très très forte majorité le financeur des bookmakers.
La puissance d'un ordinateur, en travaillant sur des bases de données des championnats passés est capable de "raisonner" sur ces data et de nous dégager des réalités qui nous permettent de fortement croire que des évènements sont très probables.
Par exemple, ce week end, une dizaine d'équipe se présentent avec des séries record sur une situation qui n'est pas arrivée depuis 7, 8, 9 ans. La probabilité que la situation se réalise est donc très élevées. Et donc ces paris sont très avantageux, très "value". L’intelligence humaine est incapable de déceler ces fortes opportunités.
La rentabilité se construit à moyen terme sur le décèlement "machine" de ces évènements.
C'est cet outil puissant et élaboré qui fait la différence entre une approche parieur et une approche investisseur de la sphère du jeu de pari.
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